Dans le culturisme, ce qui ressemble le plus à la « pierre philosophale » est ce qui peut aider à entraîner avec plus d’énergie, intensité, et qui facilite l’acquisition de muscle tout en accélérant l’élimination de la graisse. S’il existait quelque chose du style, ce serait vraiment le rêve du culturiste devenu réalité.
Il y a un extrait d’un fruit tropical qui a démontré dans de nombreuses études pouvoir faire justement tout cela. Il s’agit de la synéphrine.
La synéphrine est une substance active qui s’obtient par le biais de l’extrait d’un fruit tropical connu comme le citrus aurantium (en Chine, ce fruit est connu comme Zhi Shi), dans certaines cultures il est appelé également orange amère, puisque c’est un citrique amère qui s’utilise dans le Golf Persique comme conservant et comme épice.
Cette plante contient quelques composés actifs, comme la para-synéphrine (p-synéphrine) et l’octopamine, même si on croit également que le fruit peut contenir de la meta-synéphrine et de l’orto-synéphrine.
Synéphrine, une substance aux actions puissantes et sélectives
L’extrait de ce fruit, la synéphrine, a démontré pouvoir générer la perte du tissu adipeux, ainsi qu’améliorer le rendement et est même capable de maintenir la proportion de masse maigre encore en conditions de déficit calorique.
Il est important de souligner que le mécanisme d’action par lequel le citrus aurantium élimine la graisse diffère de celui des autres alcaloïdes comme l’éphédrine ou même les amphétamines, qui même s’ils sont efficaces, causent généralement des problèmes parfois graves.
Toutefois, la synéphrine est un stimulant sélectif des récepteurs adrénergiques beta 3 qui n’en affecte pas d’autres tels que les alpha 1 et 2 et beta 1 et 2, et dont la stimulation est celle qui est à l’origine les effets collatéraux sur les systèmes nerveux central et cardiovasculaire, étroitement liés aux récepteurs adrénergiques.
La synéphrine de l’extrait du citrus aurantium engendre la libération d’adrénaline et de noradrénaline, ou d’épinéphrine et de norepinéphrine, de leurs dépôts cellulaires qui à leur tour activent les récepteurs beta 3, qui sont les véritables responsables directs de la lipolyse à l’intérieur des cellules grasses.
Cette action sélective sur le système adrénergique, ou amino sympathicomimétique, est très importante parce que ce dernier possède divers types de récepteurs répartis dans tout l’organisme et dans les tissus, on en trouve généralement un qui prédomine sur les autres.
Donc par exemple, le récepteur alpha 1 cause la vasoconstriction des artères, en augmentant la pression sanguine.
Les récepteurs alpha 2 jouent sur la pression en déterminant la vasoconstriction du microcercle périphérique et empêche la lipolyse.
Les récepteurs beta 1 et 2 sont répartis dans le cœur et le système respiratoire et ils contrôlent la dilatation des bronches et la dilatation du vaisseau de myocardie, ainsi que de la musculature squelettique.
Mais les récepteurs beta 3 augmentent de manière sélective la libération des acides gras et des triglycériques du tissu adipeux, en augmentant en même temps la thermogenèse, et le font sans affecter le système cardiaque.
C’est pour cela que la stimulation sélective des beta 3 est si importante pour perdre la graisse sans altérer d’autres fonctions organiques, parce qu’il est donc possible ainsi d’obtenir tous les bénéfices sans avoir à encourir des risques pour la santé.
http://olympus-sport.fr/wp-content/themes/olympus/images/rayas-titulo.png); background-attachment: initial; background-size: initial; background-origin: initial; background-clip: initial; background-position: 0% 0%; background-repeat: repeat-x;">Synéphrine contre éphédrine
L’éphédrine est une substance active de type alcaloïde que l’on extrait de la plante chinoise appelée Ma Huang et qui, dans les années 90, constituait nombreux suppléments pour perdre du poids, puisqu’elle exerce de puissantes actions thermiques stimulantes, très semblables à celles des amphétamines. Le problème avec l’éphédrine est qu’elle accélère le métabolisme, mais exerce également des effets cardiaques de grande portée et on lui a attribue des troubles cardiaques et même certains décès, donc les autorités sanitaires ont interdit leur usage libre en suppléments aux États-Unis et dans le reste du monde. À partir de là, on a commencé à utiliser la synéphrine comme substitue de l’éphédrine interdite, parce que ces deux substances alcaloïdes partagent certaines qualités, la synéphrine étant un peu plus douce que l’éphédrine, mais elle ne présente pas les effets inverses associés avec l’éphédrine.
Bien qu’il existe peu d’études scientifiques qui comparent la supplémentation de l’éphédrine et la synéphrine chez des individus sains et minces, une étude a été réalisée à l’Université de Utah, USA, qui compare ces deux composés entre eux, mais aussi avec un placebo sur des sujets sains. Les formules de l’étude contenaient 24 milligrammes d’éphédrine ou bien 10 mg de synéphrine. Le choix de ces deux quantités s’est décidé parce que c’étaient celles que l’on utilisait habituellement dans les suppléments que l’on commercialisait.
Dans les deux formules, on a inclut en plus 300 mg de caféine, 12 mg de yohimbine et 200 mg de quercetine. Dans le cas de la synéphrine, on a ajouté 50 mg de deux autres herbes chinoises qui produisent un effet de chaleur.
L’étude était en double aveugle, avec du placebo et à schéma croisé et on a utilisé 20 jeunes sains, 10 hommes et 10 femmes. On a enregistré le rythme métabolique, le quotient d’échange respiratoire, la température corporelle, le rythme cardiaque et la pression artérielle.
Le rythme métabolique au repos augmente significativement avec le mélange d’éphédrine, en comparaison avec le placebo (substance inerte). La formule de synéphrine n’a pas augmenté aussi significativement le rythme métabolique au repos dans aucune période de 15 minutes durant les 195 minutes d’observation.
Toutefois, l’extrapolation brute de l’information recueillie durant ces 195 minutes durant une période de 24 heures, que ce soit les formules avec éphédrine ou celles de synéphrine ont montré une augmentation significative du rythme métabolique au repos lorsque l’on a comparé les deux avec les sujets qui ont utilisé le placebo. Le quotient respiratoire a diminué jusqu’à la combustion de la graisse seulement dans la formule d’éphédrine en comparaison avec le placebo. La température corporelle a remarquablement augmenté, aussi bien avec l’éphédrine qu’avec la synéphrine en comparaison avec le placebo. Le rythme cardiaque (les pulsations) a augmenté considérablement avec l’éphédrine (comparée avec le placebo), mais pas avec la synéphrine. De même, la tension artérielle a augmenté beaucoup plus avec l’éphédrine qu’avec la synéphrine.
La conclusion finale est que l’éphédrine présente un avantage lorsqu’il s’agit d’éliminer la graisse, mais cela est accompagné de plusieurs effets inverses négatifs, tout particulièrement celui du système cardiovasculaire, et présente même un risque élevé de catabolisme musculaire, c’est-à-dire qu’en plus de dégrader le tissu adipeux, il peut dégrader le tissu musculaire.
La synéphrine est l’éphédrine agissent de manière différente sur les récepteurs adrénergiques alpha et beta. L’éphédrine est un beta agoniste direct et indirect avec une activation relativement légère des récepteurs alpha. En revanche, la synéphrine agit comme un agoniste direct des récepteurs alpha avec une activation relativement douce des récepteurs beta de par la libération de l’epinéphrine et norepinéphrine.
Évidemment, dans cette étude, les deux quantités utilisées étaient différentes, car on avait utilisé 24 milligrammes d’éphédrine contre 10 mg de synéphrine.
Il faut souligner que même si ces données ne peuvent pas servir de conclusion, il a été démontré que l’éphédrine présentait un avantage sur la synéphrine pour brûler la graisse, mais ses effets secondaires négatifs étaient certainement à bien prendre en compte, alors que la synéphrine ne présentait pas ces risques.
Une autre étude universitaire récente, dans laquelle on a utilisé 20 mg de synéphrine comparé avec un placebo (dans ce cas pas avec l’éphédrine) a pu constater que la synéphrine activait de manière considérable les récepteurs beta 3, grâce à une meilleure libération des hormones catécholamines, épinéphrine et norépinéfrine (sans pour autant modifier substantiellement les patrons cardiaques ou autres marqueurs de la santé)
Cela vaut la peine de mettre en avant que ces études n’étaient pas accompagnées d’une diète spécifique pour réduire les réserves de graisse, parce que l’objectif était de connaître la manière dont la synéphrine pouvait accélérer la combustion des calories et des graisses de par elles-mêmes, mais comme c’est évident, si cette substance s’utilise dans le cadre d’une diète de définition, ses effets sont beaucoup plus prononcés.
De la même manière, il existe d’autres façons d’accentuer l’efficacité de la synéphrine sans avoir besoin d’augmenter la dose utilisée et c’est dans le but de tirer profit aux effets de la synergie. La loi de la synergie signifie que les effets d’une substance qui peut agir en synergie avec une autre se multiplient au lieu de s’ajouter. En d’autres termes, lorsque deux substances peuvent réagir entre elles en se renforçant, alors les effets de chacune sont multipliés sans pour autant avoir besoin d’augmenter la dose, mais par le renfort de l’autre substance synergique.
Ainsi les études ont démontré que la synéphrine présente des effets synergiques avec la substance extraite du fruit d’un autre citrique, la naringine, que l’on obtient d’un pamplemousse tropical.
Les méthylxanthines, comme la caféine, contiennent également des propriétés semblables à la synéphrine qui renforcent ses effets et actions tout en les prolongeant.
Une autre molécule très particulière, la forskoline, également d’origine botanique, renforce de manière synergique ses actions lorsqu’elle est combinée avec la synéphrine.
Par conséquent, le citrus aurantium constitue un moyen sûr d’éliminer progressivement le tissu adipeux tout en préservant le maigre et si on y ajoute la forskoline, la caféine de la guarana, l’extrait de thé vert, la naringine, le chrome et l’acide hydroxycitrique, nous nous trouvons face à un préparé de grande portée pour altérer la composition corporelle.
Au-delà de la synéphrine avec le TH 101
Il existe un ergoceutique qui va au-delà de la synéphrine, parce qu’en plus de la synéphrine, sa formule réunit 11 ingrédients capables d’activer par différentes voies les mécanismes par lesquels le corps construit du muscle, réduit le catabolisme, élimine les graisses et liquides sous-cutanés, évite l’envie de sucré, bloque la formation du tissu adipeux et améliore la production des hormones thyroïdes, des catécholamines et de la testostérone.
Il s’agit du TH 101 de Future Concepts.
Ses actions sont tellement profondes et ont une telle importance qu’il n’a pas l’air d’un produit constitué d’ingrédients naturels.
Pour commencer, il réalise deux actions principales pour réduire l’adiposité, la première est de doter l’organisme des matériaux nécessaires pour le fonctionnement optimal de la thyroïde et le deuxième est d’augmenter la thermogenèse, ou production de chaleur corporelle.
La tyrosine est le matériel de base qui, avec l’aide du cuivre et grâce à certains processus chimiques, permet la fabrication de thyroxine, la principale hormone active de la thyroïde. Cette glande a besoin de l’iode pour fonctionner correctement, ainsi que pour déclencher la production hormonale, et cet élément s’obtient principalement d’algues d’eaux profondes et froides, très riches en ce minéral et c’est justement pour cela qu’elles sont un ingrédient du TH 101.
Pour activer la thermogenèse, ou production de chaleur, cette formule a trois agents très populaires : la synéphrine, qui s’extrait de l’écorce d’une orange amère, la caféine obtenue du guarana et la naringine que l’on obtient d’un pamplemousse tropical.
La combinaison de ces trois ingrédients possède la particularité d’accélérer le métabolisme, en augmentant la température corporelle, ce qui permet l’élimination des graisses, parce que cette légère élévation de la température permet de consommer davantage de calories sans risque qu’elles s’accumulent dans le tissu adipeux, puisque le métabolisme les brûle pour produire de la chaleur corporelle.
L’extrait de thé vert est un autre composé présent dans le TH 101 parce qu’il contient des substances appelées polyphénols catéchines capables de réguler à la baisse le niveau d’insuline et à la hausse la dépense calorique par le biais de l’oxydation des acides gras stockés, c’est-à-dire qu’il augmente également les effets thermogéniques et lipolitiques de par lui-même, mais uni aux autres ingrédients, ses effets sont encore plus importants.
Toutefois, mise à part la synéphrine, peut-être que le composant le plus particulier du TH 101 est la forskoline, un extrait végétal dérivé de la plante coleus forskohlii, qui fait l’objet de nombreuses études.
La particularité de cette substance est sa capacité pour activer l’enzyme adenylate cyclase, qui à son tour augmente la production de mono phosphate cyclique d’adénosine (AMPc), un deuxième messager cellulaire de grande importance. Cela fait longtemps maintenant que l’on connait l’effet de ce messager sur la thyroïde ; il la stimule, et donc complète l’action des trois premiers ingrédients.
Toutefois, les études ont démontré qu’avec l’augmentation de la production d’AMPc dans les tissus, on élève l’absorption des nutriments dans ces derniers, et en particulier dans les tissus musculaires. Cela se traduit par une musculature plus ferme et dure et un meilleur maintien de la masse maigre durant des périodes de diète stricte, c’est-à-dire que l’on aide à préserver le muscle.
Mais il est important de mettre l’accent sur les dernières découvertes faites sur la forskoline, puisque dans de récentes études, on a constaté qu’elle favorise la production de testostérone ainsi que la séparation de cette dernière de la protéine sanguine qui s’y adhère dans la circulation. Il s’agit là d’une bonne nouvelle pour un culturiste, parce qu’en plus de contribuer à l’augmentation de la production de testostérone, elle garantit que cette hormone maintienne ses fonctions anaboliques, puisque lorsqu’elle circule unie à la protéine, elle ne peut pas exercer ses effets anaboliques, car elle ne peut pas adhérer aux récepteurs anaboliques des muscles étant donné que c’est une molécule trop grosse, alors que sous forme libre, elle peut.
De nombreuses études ont démontré que la production normale moyenne de testostérone serait suffisante pour produire des muscles plus gros si cette hormone circulait sous forme libre. Donc le TH 101 garantit que votre propre production de testostérone soit plus importante et résulte anabolique.
Future Concepts a inclus dans le TH 101 le picholinate de chrome, parce que d’après diverses études sur ce dernier, on a constaté que l’absorption des nutriments et du glucose dans les cellules musculaires augmentait, diminuant ainsi leur captation par les adiposités.
Un autre extrait végétal exceptionnel de cette formule est l’acide hydroxycitrique qui bloque l’enzyme citrate lyase et empêche donc la conversion des sucres provenant des hydrates de carbone en graisse corporelle. D’après plusieurs travaux réalisés sur des humains avec cet ingrédient, en plus de bloquer la lipogenèse (formation de graisse à partir des sucres), il contribue également à augmenter la thermogenèse et diminuer l’appétit.
La gymnema sylvestre est une plante aux propriétés assez uniques dans la mesure où grâce à la similitude de la structure moléculaire de l’acide gymnique (son principal ingrédient) avec le glucose, on a vérifié qu’il peut réussir à annuler temporairement le goût du sucre en occupant ses récepteurs et par conséquent diminuer l’envie de sucre.
D’autre part, la plante intervient dans le métabolisme du glucose et empêche la courbe élevée d’insuline qui peut conduire à l’augmentation de la graisse corporelle.
En dernier lieu, le TH 101 inclut dans sa formule encore une autre plante, il s’agit du fameux pissenlit, probablement le diurétique naturel le plus puissant que je connaisse. La vertu de cette plante est double puisque d’une part elle est très efficace pour expulser les liquides retenus, tout en préservant et apportant elle-même le minéral potassium si important, essentiel pour l’équilibre électrolytique. C’est précisément ce minéral qui se perd avec les diurétiques chimiques et celui qui met en danger la santé avec cette perte.
Avec une dose le matin avant le petit-déjeuner, le métabolisme se met en marche pour travailler à fond le reste de la journée. Avec cette dose unique, n’importe qui peut améliorer le rythme de création de nouvelles protéines durant la phase de volume, ainsi qu’établir les conditions optimales pour l’élimination des graisses existantes et éviter la création de nouveaux dépôts.
Si vous souhaitez plus d’énergie durant la session, prenez la dose entre une demi-heure et une heure avant d’entraîner et vous ressentirez plus de force durant la session.
Et pour accélérer la perte du surpoids et renforcer la définition, il est conseillé de prendre la dose le matin et une autre avant le déjeuner ou bien avant l’entraînement. Deux doses de six capsules sont suffisantes pour ressentir des changements profonds dans la composition corporelle.
Plus d’énergie, moins de graisse et plus de muscle
Si comme la grande majorité de ceux qui entraînent avec poids, vous cherchez cette pierre philosophale qui vous permette d’entraîner avec plus d’énergie et intensité, réduire les réserves de graisse sous-cutanée au maximum pour montrer des muscles définis et découpés, en plus d’augmenter le volume de votre masse musculaire, alors n’hésitez plus.
D’abord, élaborez une routine simple où vous matraquez les grands groupes avec des exercices de base et lourds, combinez l’entraînement avec une diète équilibrée et abondante en protéines, modérée en hydrates de carbone et faible en graisses.
Et en dernier lieu, ajoutez à votre diète quotidienne la synéphrine comme supplément, ou encore mieux, choisissez leTH 101 et vous disposerez d’une grande quantité d’énergie pour détruire les fers, vous réduirez vos niveaux de graisse et en même temps vous augmenterez le volume et la qualité musculaire.
Mis à jour (Mercredi, 08 Avril 2015 17:07)